" [...] De cette manière, j'invoque un être que j'appelle "le Grand-je-vous-emmerde-Bodhisattva" [The Great Fuck-You Bodhisattva]. Le Grand-je-vous-emmerde-Bodhisattava est assis, dressant son majeur, ressemblant à un singe. J'en ai modelé un en argile. Il a de grands clous qui lui sortent de la tête, et je lui ai consacré un autel, où je lui offre de l'encens. On a tous des voix intérieures qui nous critiquent, nous poussent à, comme dans mon cas, arrêter d'écrire, me suicider - ou les deux ! Alors quand j'entends ces voix qui me disent "tu es trop mauvais pour faire ça", je fais face et "Aha !", je vais me poser devant le Grand-je-vous-emmerde-Bodhisatva, je lui offre un bâton d'encens, et je retourne ensuite à mes affaires."
Dale Pendell, dans une interview au sujet de la pratique magique, traduction et adaptation personnelles.
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